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Mars 2016 - Ouverture du marché obligataire chinois

il y a 7 ans

Do you speak Chinese?

La Chine continue de nous étonner. Elle a récemment fait un pas de plus dans son ouverture aux investisseurs étrangers en ouvrant son marché obligataire.

Le marché obligataire chinois interbancaire est évalué à quelques 7 000 milliards de dollars, c’est le 3ème marché derrière les USA et le Japon.

Désormais, les gérants d’actifs pourront acheter et vendre des titres obligataires de manière beaucoup plus fluide qu’auparavant. Le système de quotas a disparu. Si certains voient dans cette réforme l’affirmation que la Chine veut devenir un acteur financier de référence ; d’autres en revanche, soulignent que le pays espère ainsi compenser les fuites de capitaux dans un contexte de baisse du Yuan et d’inquiétudes sur la croissance.

La Chine aimerait aussi intégrer au plus vite les indices obligataires internationaux. Il est vrai que les rendements offerts par les obligations chinoises sont alléchants (le taux à 10 ans affiche un rendement autour de 2,9% fin février, là où l’OAT 10 ans par exemple offre un rendement de 0, 47% au 29/02/2016.)

Mais attention à ne pas se brûler les ailes, les investis-seurs veulent être sûrs qu’ils seront libres de rentrer et sortir librement de ce marché… les évènements récents sur le marché actions ont laissé des traces et le doute n’est pas permis quand on parle d’argent.

To be or not to be ? That is the question.

Nos amis d’outre-manche se préparent à prendre une dé-cision majeure : rester ou quitter l’Union Européenne (UE). De nombreux conservateurs défendent une sortie pour des raisons économiques, arguant que le marché commun pénaliserait l’économie britannique.

Ce potentiel « Brexit », contraction de "Britain" et "Exit" qui fait référence à un départ du Royaume-Uni de l'Union pourrait avoir de lourdes conséquences pour le continent européen.

Les milieux économiques sont en grande majorité pro-européens, même si les grandes entreprises restent très prudentes sur le sujet de peur d’indisposer leurs clients et leurs collaborateurs. Les défenseurs de la sortie du Royaume-Uni soulignent que Londres affiche un déficit commercial avec l'UE (7,6 milliards de livres en décembre 2015) et que l'Union n'a donc aucun intérêt à perdre un tel partenaire. Dans tous les cas, le résultat du référendum du 23 juin sera déterminant pour nous tous. Il est clair que si le Royaume-Uni prenait la décision de ne plus être dans l’Union, il prendrait aussi le risque de voir une Europe continentale moins stable et plus fragile, comme le soulignait récemment le ministre des finances allemand.
Let’s wait and see !

Close Look : Plafond de la dette américaine -...

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The Monthly Review : Les “stories” du mois de mai

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