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The Monthly Review : Les “stories” du mois de septembre

il y a un an
L'ascesa del dollaro

L’ascension du dollar

Les événements se sont alignés pour propulser le dollar à son plus haut niveau depuis 20 ans. La Réserve fédérale (Fed) a annoncé un relèvement de ses taux d’intérêt de 75 points de base et la Banque d’Angleterre a ralenti le rythme prévu de ses hausses en réponse aux craintes liées à la croissance. La Banque du Japon est quant à elle intervenue sur les marchés des changes pour la première fois depuis les années 90, alors que le yen a cédé près de 25 % face au billet vert cette année. L’annonce de la mobilisation de troupes russes supplémentaires en Ukraine a encore fait grimper la devise américaine, considérée comme une monnaie refuge. De son côté, la Banque mondiale a averti qu’une poursuite de la hausse des taux d’intérêt faisait peser des risques sur la croissance.

Allarme globale

Des signaux inquiétants pour l’économie mondiale

Le cours de l’action de FedEx, le géant de la livraison de colis, a chuté de plus de 20 % après que l’entreprise a annoncé une baisse des volumes d’expédition de colis. Des concurrents comme UPS ont également cédé du terrain. Le nouveau PDG a décrit un « environnement opérationnel volatil » en raison de la baisse de la demande, allant même jusqu’à prédire une récession mondiale. FedEx est considérée comme un baromètre de la croissance économique mondiale en raison de la vaste gamme de produits qu’il propose. Ces déclarations s’inscrivent dans le sillage du net repli des exportations chinoises en août, qui sont ressorties en deçà des prévisions des économistes, alors que l’inflation galopante a freiné la demande des consommateurs dans le monde entier.

Primo piano sul clima

Priorité au climat

Le secrétaire général de l’Assemblée générale des Nations Unies à New York a envoyé un message fort sur le changement climatique, en appelant les grandes banques multilatérales, comme la Banque mondiale, à redistribuer les richesses aux nations les plus pauvres situées en première ligne du risque climatique. Dans la lignée de cette déclaration, le fonds souverain de la Norvège, qui détient 1 200 milliards de dollars d’actifs, s’est engagé à ce que les entreprises dans lesquelles il investit atteignent toutes l’objectif de zéro émission nette d’ici 2050. De son côté, Al Gore, l’ancien vice-président des États-Unis, a mis en lumière les résultats des recherches du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) qui estiment qu’une fois que l’objectif de zéro émission nette aura été atteint, les températures mondiales pourraient commencer à baisser dans les cinq ans.

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