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The Monthly Review : Les “stories” du mois de mars

il y a 2 ans
Le pétrole à nouveau sous pression

Le pétrole à nouveau sous pression

Après l'imposition d'un embargo sur les exportations de pétrole, la Russie a fermé un pipeline stratégique, officiellement pour des réparations importantes. Il s'agit là du jeu classique de la compression de l'offre. Et quand l'offre baisse, les prix augmentent. La pression est mise sur les épaules du président Biden, contraint de se lancer à la recherche de sources alternatives, alors que les prix de l'essence s'envolent. Il a ordonné au secteur américain du pétrole de schiste de mettre tout en œuvre pour augmenter le pompage. Des canaux ont été rouverts avec l'Iran et le Venezuela, tous deux mis à l'écart du marché mondial pendant bien longtemps. Le président a même appelé directement l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis pour demander une augmentation de la production, mais aucun de ces pays n'a prétendu répondre à son appel.

Les hacktivistes se mobilisent

Les hacktivistes se mobilisent

La riposte du XXIe siècle. L'Ukraine, qui est depuis longtemps la cible de cyberattaques, est parvenue à lever une armée de hackers du monde entier. La puissance combinée de cette "armée IT" est si impressionnante qu'elle n'a rien à envier aux trois grandes cyberpuissances que sont les États-Unis, la Chine et la Russie elle-même. L'objectif est de faire tomber des sites stratégiques russes et de semer la pagaille. Cette armée peut également servir de canal utile pour la collecte de fonds, les dons en crypto-monnaie étant également acceptés. Pendant ce temps, le rideau de fer digital retombe, isolant la Russie du reste du monde.

Débâcle technologique en passe de reprise ?

Débâcle technologique en passe de reprise ? 

L'indice Nasdaq des valeurs technologiques américaines est resté volatil, perdant plus de 5 000 milliards de dollars par rapport à son pic de novembre, avant de se reprendre énergiquement dans la deuxième quinzaine du mois. À un certain moment, l'ampleur des pertes correspondait à l'ensemble du marché boursier britannique. Les entreprises ne prévoyant pas de bénéfices à court terme ont été les plus touchées, ce qui a suscité des cris de débâcle. Les mégagroupes ont toutefois largement résisté, et Amazon a favorisé le marché en annonçant un fractionnement de ses actions et des rachats d'actions. À l'inverse, les plateformes Meta (anciennement connues sous le nom de Facebook) sont restées sous pression.

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