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The monthly review : Les « stories » de août

il y a 3 ans

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        Source: Bloomberg 31.08.2020



Le challenger est confirmé

Joe Biden a été confirmé en tant que candidat du Parti démocrate pour affronter Donald Trump lors de l’élection de novembre. En cas de victoire, il serait, au moment de son inauguration, le plus vieux président de l’histoire des États-Unis. Sa colistière, la sénatrice Kamala Harris, pourrait être la première femme originaire d’Asie du Sud à occuper le poste de vice-président. Joe Biden a promis 2 000 milliards de dollars US d’investissements dans l’énergie verte, dans le cadre de son plan « Build Back Better » (Reconstruire en mieux) qui vise également à soutenir les travailleurs américains. Les marchés ont atteint des pics historiques, malgré la possibilité de hausses d’impôts sur les entreprises.

Les grandes entreprises technologiques se mettent au vert 

Sans doute dans une volonté de rattraper leur retard, les grandes entreprises technologiques américaines, après des années de critiques de plus en plus véhémentes, pourraient bien se positionner à l’avant-garde de l’ordre du jour écologique. Alphabet (la maison mère de Google) vient juste de lancer l’obligation verte la plus importante de son histoire, pour financer des projets d’énergies propres, construire des bâtiments économes en énergie et aider les gouvernements à faire face aux conséquences du Covid-19. Apple et Google alimentent déjà leurs sites à l’aide d’énergies renouvelables, et Facebook devrait être en mesure d’en faire de même d’ici la fin de l’année. L’échelle considérable de leurs investissements devrait accélérer les développements technologiques dans les énergies renouvelables et essentiellement faire baisser les prix.

Les « blockbusters » (opérations géantes) sont de retour

Qu’il s’agisse ou non d’un effet de la demande contenue, l’activité récente sur le marché des fusions-acquisitions est pour le moins impressionnante. Un certain nombre d’opérations d’une valeur supérieure à 10 milliards de dollars US ont été signées depuis le début de l’année, ce qui constitue le démarrage le plus rapide au deuxième semestre depuis l’explosion des « méga-opérations » qui a précédé la crise de 2008. Même si certaines de ces opérations ont été gelées par le confinement mondial, elles ne répondent pas simplement à un besoin d’expansion. Face au durcissement des conditions d'échange, les grandes entreprises pourraient également considérer les acquisitions comme une stratégie défensive. Pour les secteurs durement touchés par la pandémie, une échelle plus importante pourrait offrir une plus grande résilience. 

 

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